La Cote d’Ivoire a procédé, ce 25 février à Paris à l’ouverture officielle de ses stands au Salon International de l’Agriculture (SIA 2024) en présence du Ministre d’État Kobenan Kouassi Adjoumani (Agriculture, du Développement rural et des Productions vivrières) chef de la délégation, le Ministre Sidi Tiémoko Touré (Ressources Animales et Halieutiques et de l’Ambassadeur de Côte d’Ivoire en France, Maurice Kouakou Bandama.
Le SIA qui a démarré le samedi 24 février 2024 au Parc des expositions de la Porte de Versailles, offre une plate-forme au monde de l’industrie agricole pour présenter leurs innovations et de partager leurs connaissances et discuter des défis auxquels le secteur fait face.
Le SIA rassemble chaque année les acteurs clés du monde agricole, de l’industrie agroalimentaire et des politiques publiques dans la capitale française.
D’après une note consultée par Abidjan.net, cette année, “la participation de la Côte d’Ivoire est particulièrement remarquée, mettant en lumière l’importance de la forêts, de l’agriculture et des ressources animales et halieutiques dans le développement socio-économique du pays”.
Les exposants venus de la Côte d’ivoire ont tenu à faire valoir les potentialités du pays en matière agricole, animale et halieutiques
Ainsi, le ministère des ressources animales et halieutiques présente des poissons d’élevage de tilapia, de machoirons, d’escargots et des produits laitiers et bien d’autres valeurs du secteur. Notons aussi la présence dans le stand de l’agriculture l’Association interprofessionnel de la filière Palmier à huile (AIPH), l’organisation interprofessionnel de la filières anacarde, le laboratoire national d’appui au développement agricole (LANADA), le Conseil café cacao, le Conseil hévéa et palmier à huile etc. Le Ministère des Eaux et Forêts a également présenté des possibilités ivoiriennes dans ce secteur.
Le thème de ce salon pour le Ministère des Ressources Animales et Halieutiques est « Le secteur des ressources animales et halieutiques en Côte d’Ivoire : opportunités d’investissement et de création de richesses pour la sécurité alimentaire .»