La sixième session de l’Assemblée des Nations Unies pour l’environnement (ANUE-6), se tient à Nairobi au Kenya. Gouvernements, groupes de la société civile, scientifiques et acteurs du secteur privé planchent – sur le changement climatique et la biodiversité. La présidente de cette assemblée exhorte à plus de détermination.
« Nous nous retrouvons généralement à parler du climat, de la perte de biodiversité, de la pollution et d’autres problèmes environnementaux dans différentes salles. Nous abordons ces problèmes en silos, alors que nous sommes les mêmes êtres humains, c’est la même nature, c’est le même environnement et c’est la même planète. Ainsi, la première fois que nous en avons discuté avec le PNUE (Programme des Nations Unies pour l’environnement), nous avons dit que nous étions très préoccupés par la fragmentation des questions environnementales dans différents lieux. » Déclare, Leila Benali, présidente de l’ANUE-6.
Jusqu’à vendredi, les états membres du Programme des Nations Unies pour l’Environnement statueront sur 19 projets de loi, notamment la restauration de terres dégradées, la lutte contre les tempêtes de poussière et la réduction l’impact environnemental de l’exploitation minière.