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À Gaza, plusieurs maladies cutanées ont fait irruption chez les déplacés.
Si la gale et les poux ont pris des proportions épidémiques d’autres infections fongiques, bactériennes et virales, ainsi que des parasites, sévissent également dans les camps. Les enfants sont les plus touchés, mais des cas isolés ont été enregistrés chez les adultes.
Plus de 1,8 million Gazaouis ont été chassés de chez eux, entassés dans les camps, ils manquent de tout , la distribution de fournitures humanitaires, notamment de savon, de shampoing et de médicaments, est quasi-insignifiante en raison de la poursuite des bombardements israéliens.
Les déplacements, la densité des personnes dans les tentes, les températures élevées, le manque d’eau potable et l’utilisation des eaux usées. Aujourd’hui, la majeure partie de l’eau dans les gouvernorats est constituée d’eaux usées. Cela favorise la propagation des maladies et la propagation des maladies de la peau dans les jours à venir, explique un dermatologue
La majorité des déplacés sont désormais rassemblés dans un rayon de 50 kilomètres carrés ou les systèmes d’évacuation des eaux usées sont inexistants. Selon le Programme des Nations unies pour le développement, plus d’un million de cas d’infections respiratoires aiguës ont été enregistrés depuis le début de la guerre.
