Workers pick tomatoes in a field in Los Banos. Even though they start very early in the morning (5 am), around 9 am it starts getting really hot. Most workers wear long sleeves for protection from the sun and mosquitos. Tomato picking is done by contract, meaning workers get paid per bucket picked. Each bucket weights about 25 pounds and is worth 74 cents. The average amount per worker according to one of the supervisors is 200 to 250 buckets a day. Workers run with their buckets with a card attached to their hats or clothes, which gets punch holed every time they fill and deliver a bucket to a truck. According the law, when the temperature reaches 80°F (26.6°c) there should be shade where farm workers can take breaks. They should be allowed to take a 5 minute (or as long as needed) break if they start feeling bad and this should be paid time. When the temperature reaches 95°F (35°c) they should automatically be given a 10 minute break and there should a plan of how to proceed in case of an emergency.

Une nouvelle vie dans les fermes américaines pour les réfugiés africains

Dans une ferme de New Hampshire, aux États-Unis, une ONG accompagne les réfugiés pour faciliter leur insertion dans la vie active. Cela passe par l’agriculture.L’agriculture comme voie royale vers l’autonomie et l’indépendance financière. L’organisation à but non lucratif « Organization for Refugee and Immigrant Success » met à disposition des réfugiés une ferme dans le New Hampshire afin qu’ils puissent y cultiver des fruits et légumes. Les récoltes sont ensuite vendues sur les marchés locaux, leur permettant ainsi d’avoir des revenus réguliers et d’être autonomes.Ces agriculteurs, venus du Burundi, du Rwanda, de la Somalie et de la République démocratique du Congo, ont un profil similaire. Il s’agit de réfugiés ayant fui la guerre et les persécutions.“Ce sont des agriculteurs indépendants qui travaillent en partenariat avec notre organisation. Cela leur permet d’avoir un nouvel objectif, de s’intégrer dans la communauté et de vivre le rêve américain”, se réjouit Tom McGee, directeur du programme « New American Sustainable Agriculture Project ».La plupart de ces agriculteurs exerçaient déjà cette activité dans leur pays d’origine avant de s’installer aux États-Unis. D’autres avaient une petite expérience dans le domaine de l’agriculture.

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